En un bout de temps, une année environ, les habitants de Brétigny ont été victimes d’un préjudice écologique. Il s’agit, en réalité, de la végétation de ce milieu qui disparaissait lentement. L’un des faits marquants de ce changement est qu’il y a près de 1,5 hectare de parcelles boisées qui ont été mises à nu de façon flagrante.

Ces faits constatés, plusieurs groupes, comme le « collectif des joncs marins » qui compte un effectif de 87 membres ainsi que plusieurs autres associations, se sont tous levés comme un seul homme pour dénoncer le préjudice et les périls liés aux constructions tous azimuts et aux installations illégales dans ce quartier. Ceci étant, des démarches ont été menées pour corriger le tir afin que le quartier soit sauvé.

Comment y sont-ils parvenus ?

Pour régler cette situation assez éprouvante, les habitants de Brétigny ont pris contact avec la mairie de la ville. Ces derniers ont ainsi profité de l’occasion pour faire d’une pierre deux coups. Non seulement ils ont porté leur revendication à la mairie, mais ils ont aussi porté plainte pour non-respect de l’environnement contre les prétendus responsables surpris dans de tels actes destructeurs.

Plus encore, ils ont sollicité la députée Laetitia Romeiro Dias pour qu’elle fasse des requêtes auprès du préfet et au niveau étatique afin que la dynamique de la protection de l’environnement soit effective et non un simple slogan. Favorablement, la députée leur a confirmé son engagement à se mettre dans la danse afin que cette cause noble soit une réalité.

Par ailleurs, cette élue n’a manqué, à aucun moment, de réitérer toute l’importance qu’il y a à conjuguer toutes les forces pour la préservation de l’environnement. Elle était d’ailleurs déterminée à mener le combat avec les collectifs afin que plus jamais cela ne se répète. Son engagement a donc beaucoup aidé.

De ces démarches, une décision radicale a été prise par le collectif. Il s’agit du blocage rapide des parcelles. Cette mesure permettra de voir clair dans la situation et de réfléchir sur les dispositions concrètes qu’il faut prendre en vue d’une amélioration. Ayant obtenu ce blocage, la seconde étape a été de faire de ces parcelles une zone agricole et naturelle. Cela a consisté à réaliser des plans locaux d’urbanisme comme on le remarque si bien sur cet espace où les chemins de la mare se croisent.